Du 29 au 31 janvier, la Cellule d’évaluation d’impact sur le développement (DIME) de la Banque mondiale a lancé ses nouveaux programmes d’évaluation d’impact avec la Banque Islamique de Développement (BID) et le Programme Alimentaire Mondial (PAM) dans le cadre des efforts de la DIME visant à élargir l’utilisation de l’analyse des données et des méthodes factuelles dans les agences partenaires.
Lors de l’atelier de Dakar sur la transformation du développement grâce à une politique fondée sur des données probantes, la DIME a collaboré avec 60 décideurs de l’Afrique de l’Ouest francophone pour développer une étude d’évaluation d’impact visant à identifier les moyens d’accroître le taux de retour des projets d’investissement planifiés à travers le Sahel.
Le professeur Samba Mbaye de l’Université Gaston Berger au Sénégal et Directeur du Centre de Recherche pour le Développement Économique et Social (CRDES) fait partie du nombre des participants de cet atelier. Son speech a porté sur les Impacts d’une politique de certification, sur la production et la commercialisation de l’oignon au Sénégal. Pour de plus amples informations lire :
Samba Mbaye est enseignant-chercheur à l’Université Gaston Berger de Saint-Louis, au Sénégal. Il consacre ses recherches à l’évaluation de l’impact des programmes de développement sur le bien-être des populations sénégalaises. Il possède une vaste expérience dans la création et la gestion de données de panneaux. Il est coresponsable de l’évaluation de l’impact du Programme national d’infrastructures rurales (PNIR) (2002-2005) et du Programme de lutte contre le sida dans plusieurs pays du Cameroun (PAM), financés par le Réseau de développement mondial (GDN). Il est responsable de la collecte des données de l’enquête nationale sur l’évaluation de l’impact du système de protection sociale (programme national de bourses pour la sécurité de la famille) au Sénégal. Il a beaucoup consulté de grandes organisations internationales telles que la Banque mondiale et la FAO